2 ) Quand le passé s’invite au présent

Année 2012, début d’une aventure…

Merci à Fanny, ma fille chérie sans laquelle ce livre n’aurait sûrement jamais paru, merci pour sa présence, merci pour sa patience, merci pour sa tendresse, merci pour être tout simplement Elle

Merci à Willy Merour, mon ami, lui même auteur d’un ouvrage qui s’appelle “Histoires d’Elles ” que je vous recommande. Avec également une infinie patience, il m’a aidée dans ma mise en page . Sa présence et ses conseils m’ont été d’un grand secours.

Merci à Edilivre qui a permis la publication de cet ouvrage. Merci à l’ensemble de l’équipe toujours agréablement présente.
Et merci à beaucoup de mes amis qui m’ont encouragée sur le chemin de cette belle aventure

 

Annie Kubasiak- Barbier

 

Rencontre avec Annie Kubasiak-Barbier, auteur de  » Quand le passé s’invite au présent «


Annie Kubasiak-Barbier, Quand le passé s’invite au présent est votre premier roman publié chez Edilivre. Que pouvez-vous nous en dire ?
Ce livre, ce sont des pages de vie écrites au fur et à mesure d’un certain nombre d’évènements, pour beaucoup me concernant, pour d’autres relatifs au quotidien. Chacun de ces textes est une histoire à part entière et peut être l’expérience de tout un chacun. Il est né de l’enfance,  de situations parfois difficiles, de voyages, de rencontres belles et moins belles, de la vie d’hier et de celle d’aujourd’hui.

D’où vient votre passion pour l’écriture ?
Ma passion pour l’écriture est certainement née de celle que j’ai toujours eue pour la lecture. J’aime la langue française bien que l’ayant parlée sur le tard. Lors de ma plus tendre enfance et aussi parce que mes parents voyageaient beaucoup de par le métier de mon père, j’ai été élevée par mes grands-parents, d’origine polonaise. Ainsi, j’ai appris leur langue avant celle qui est la mienne aujourd’hui.
Que recherchez-vous dans l’écriture ?
Ce que je recherche dans l’écriture : utiliser des mots pour composer une histoire, comme un peintre utilise des couleurs pour faire un tableau, redonner vie à des gens que j’ai aimés, à des lieux où je suis allée. Cela permet aussi d’exprimer beaucoup de sentiments différents, des petites joies aux grandes révoltes. Cela permet aussi de clamer ses colères tout en pesant ses mots.
Quelles ont été vos sources d’inspiration pour écrire ce livre ?
Beaucoup de vécu, des instantanés de bonheur, des images fugaces, le monde d’aujourd’hui avec ce qu’il a de beau, de laid ou d’émouvant, parfois une photo, un objet, un hasard…
Quels sont vos auteurs de référence ?
La question est difficile. J’ai adoré Zola, Balzac, la poésie de Rimbaud, Victor Hugo, les péripéties d’Alexandre Dumas, les contes pour enfants, les contes de Grimm et puis plus près de nous le duo Louis Aragon-Jean Ferrat et tant d’autres.
Souhaitiez-vous délivrer un message à travers ce livre ?
Je ne sais pas. Je ne suis pas sûre d’avoir acquis suffisamment de sagesse pour délivrer un message. Mais s’il devait y en avoir un, ce serait « toujours regarder devant, sans renier pour autant son passé, relever la tête sous les tempêtes, foncer et se dire que le bonheur est à bout de bras ». Après, encore faut-il savoir l’attraper.
Avez-vous un second livre en perspective…
Bien sûr que j’ai d’autres projets dans le domaine de l’écriture. D’une part, je continue au quotidien, à écrire ces pages de vie et j’aimerai un jour faire un roman. J’ai une idée là-dessus depuis longtemps. Est-ce que j’aurai le temps ou pas ? Seul, l’avenir le dira.
Un mot pour vos lecteurs
Un grand merci à tous ceux qui me feront l’honneur de s’intéresser à ce que j’ai écrit, à tous ceux qui voudront bien en parler autour d’eux, à tous ceux qui voudront bien me dire leur ressenti par rapport à cette lecture. Je serai toujours à l’écoute parce que c’est aussi ce qui me fera avancer dans cette belle aventure.